Le maintien des structures médicales de rééducation et de leurs compétences sur les cantons concernés.
Début de l’action : juin 2007

Cette délocalisation est accompagnée d’un projet de fusion des établissements sous une seule et même association au lieu de deux actuellement.

Les Directions de Cerbère et de Banyuls ainsi que les conseils d’administration respectifs (le Pr. Henri Mary est président du CA des 2 associations) se sont engagés dans la voie de la délocalisation, avec un financement public obligatoire, pour, selon eux, faire face à la « concurrence » du secteur privé et répondre aux attentes de la Direction régionale de l’Hospitalisation (ARH). Cette décision n’a fait l’objet d’aucune concertation avec les salariés pas plus qu’avec les élus locaux et il n’y a aucun projet de reconversion des établissements.

Les structures, les compétences et les soignants sont sur le canton Albères-Côte-Vermeille. L’environnement y est évidemment favorable à la rééducation. Pourquoi donc jeter l’argent public pour se fondre dans la masse ? Pourquoi ou pour qui aller construire ailleurs ce qui fonctionne ici ? Le travail réalisé dans ses structures est reconnu, les différents rapports d’accréditation attestent de cette réalité (voir le site de l’ANAES). Nous ne comprenons pas à qui profite le crime.